Le Langage de
programmation Maple
1. Introduction
L’informatique est la science du traitement automatique de l’information. Pourcela :
1. il faut modéliser cette information,
2. définir à l’aide d’un formalisme strict les traitements dont elle fera l’objet,
3. traduire ces traitements dans un langage compréhensible par un ordinateur.
Les deux points 1 et 2 précédents relèvent de l’algorithmique. Le 3
ème
point concerne ce que
l’on nomme la programmation.
1.1 L’algorithmique
L’algorithmique est un terme d’origine arabe, hommage à Al Khawarizmi
Une recette de cuisine est un algorithme!
Le mode d’emploi d’un magnétoscope est aussi un algorithme!
indiqué un chemin à un touriste égaré ou faire chercher un objet à quelqu’un par
téléphone c’est fabriquer – et faire exécuter – des algorithmes.
Un algorithme, c’est une suite d’instructions, qui une fois exécutée correctement, conduit à un
résultat donné.
Si l’algorithme est juste, le résultat est le résultat voulu, et le touriste se retrouve là où
il voulait aller.
Si l’algorithme est faux, le résultat est, disons, aléatoire, et décidément, ce
magnétoscope ne marche pas!!
Pour fonctionner, un algorithme doit donc contenir uniquement des instructions
compréhensibles par l’ordinateur.
Remarque:
L’ADN, qui est en quelque sorte le programme génétique, l’algorithme à la base de
construction des êtres vivants, est une chaîne construite à partir de quatre éléments
invariables. Ce n’est que le nombre de ces éléments, et l’ordre dans lequelils sont arrangés,
qui vont déterminer si on obtient une puce ou un éléphant.
Les ordinateurs eux-mêmes ne sont fondamentalement capables d’exécuter que quatre
opérations logiques :
o l’affectation de variables
o la lecture / écriture
o les tests
o les boucles
Un algorithme informatique se ramène donc toujours au bout du compte à la combinaison de
ces quatre petites briques de base. Il peut y en avoir quelques unes, quelques dizaines, et
jusqu’à plusieurs centaines de milliers dans certains programmes.
La taille d’un algorithme ne conditionne pas en soi sa complexité : de longs algorithmes
peuvent être finalement assez simples, et de petits algorithmes peuventêtre très compliqués.
1.2 La programmation
2. définir à l’aide d’un formalisme strict les traitements dont elle fera l’objet,
3. traduire ces traitements dans un langage compréhensible par un ordinateur.
Les deux points 1 et 2 précédents relèvent de l’algorithmique. Le 3
ème
point concerne ce que
l’on nomme la programmation.
1.1 L’algorithmique
L’algorithmique est un terme d’origine arabe, hommage à Al Khawarizmi
Une recette de cuisine est un algorithme!
Le mode d’emploi d’un magnétoscope est aussi un algorithme!
indiqué un chemin à un touriste égaré ou faire chercher un objet à quelqu’un par
téléphone c’est fabriquer – et faire exécuter – des algorithmes.
Un algorithme, c’est une suite d’instructions, qui une fois exécutée correctement, conduit à un
résultat donné.
Si l’algorithme est juste, le résultat est le résultat voulu, et le touriste se retrouve là où
il voulait aller.
Si l’algorithme est faux, le résultat est, disons, aléatoire, et décidément, ce
magnétoscope ne marche pas!!
Pour fonctionner, un algorithme doit donc contenir uniquement des instructions
compréhensibles par l’ordinateur.
Remarque:
L’ADN, qui est en quelque sorte le programme génétique, l’algorithme à la base de
construction des êtres vivants, est une chaîne construite à partir de quatre éléments
invariables. Ce n’est que le nombre de ces éléments, et l’ordre dans lequelils sont arrangés,
qui vont déterminer si on obtient une puce ou un éléphant.
Les ordinateurs eux-mêmes ne sont fondamentalement capables d’exécuter que quatre
opérations logiques :
o l’affectation de variables
o la lecture / écriture
o les tests
o les boucles
Un algorithme informatique se ramène donc toujours au bout du compte à la combinaison de
ces quatre petites briques de base. Il peut y en avoir quelques unes, quelques dizaines, et
jusqu’à plusieurs centaines de milliers dans certains programmes.
La taille d’un algorithme ne conditionne pas en soi sa complexité : de longs algorithmes
peuvent être finalement assez simples, et de petits algorithmes peuventêtre très compliqués.
1.2 La programmation
Par
Mohamed El Marraki